Notre départ en Nouvelle-Zélande : quoi, quand, comment, où ?

Même si l’Angleterre est un beau pays (et la Floride tout autant)(soyez patients, ça arrive)… Le but de ce blog est aussi et surtout de vous raconter notre voyage en Nouvelle-Zélande. Ça tombe bien, on est pas encore partis (du coup, on a pas grand chose à dire hin hin) !

C’est la raison pour laquelle on commence avec un peu de « pratique », histoire de rendre la chose un peu plus claire pour ceux qui nous lisent (coucou la famille !!!).

Nous partons en PVT (ou WHV, Working Holiday Visa) pour un an.

Le PVT (= Permis Vacances Travail) ou WHV (= Working Holiday Visa) est un accord passé entre la France et d’autres pays…

Nouvelle-Zélande, Argentine, Canada, Japon, Corée du sud et bien d’autres… Il y en a pour tous les goûts !

Le but ? Voyager et pouvoir subvenir à ses besoins en faisant des petits boulots. Ou travailler puis partir en voyage. Comme on veut. C’est un peu le visa du bonheur, celui qu’on module « à la carte ». Le PVT, on en fait ce qu’on veut et c’est ça qui est bien.

Les conditions ? Être âgé de 18 à 30 ans, 35 pour le Canada. C’est un visa qui ne nécessite aucune compétence ni motivation (sauf pour le Canada mais c’est une autre histoire, nous y reviendrons), sinon celle de découvrir un autre pays et une autre culture. Attention, un PVT ne peut être obtenu qu’une fois par pays (sauf l’Australie qui en donne un 2ème mais il faut remplir des critères bien spécifiques) mais rien ne vous empêche de faire plusieurs pays…

Comment on l’obtient ? Il suffit, pour les visas les plus simples, de se rendre sur les sites des ambassades et de faire les demandes. De très bons tutoriels sont disponibles sur le site PVTistes (le lien est tout en bas !). La Nouvelle-Zélande est très réactive : nous avons eu notre visa en deux jours. Pour le Canada, c’est encore une autre histoire. On vous en parle après.

Combien ça coûte ? Environ 165$Nz, soit un peu plus de 100€ (n’oubliez pas les frais bancaires liés au paiement dans une autre monnaie).

Une fois le visa obtenu, qu’est-ce qu’on fait ? On part, pardi ! Nous avons, nous, décidé de partir en mars pour des raisons de praticité… Fin de boulot, etc. Une fois qu’on a le visa en poche, on a un an pour partir. Et une fois arrivé sur place, on a un an pour en profiter ! Super, non ?

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Le pourquoi du comment de la Nouvelle-Zélande… Une longue histoire !
Vous êtes prêts ? (Ici, on aime les romans fleuves)

Après avoir découvert la Floride, notre envie de voyage avec le PVT se portait plutôt vers le Canada. Mais comme chacun le sait, ou en a, du moins, entendu parler… Le Canada est un peu le saint-Graal pour tout français qui voudrai s’expatrier.

6700 places environ pour le PVT, soumis à des quotas (ce qui n’est pas le cas des autres pays pour le moment). Nous avons eu une place, sur les deux… La question s’est posée. On part, ou pas ? La réponse est vite arrivée : pas au Canada en tout cas… Il y avait une manip’ un peu spécifique pour réussir à y aller quand même mais il fallait déjà trouver un boulot en amont.

Et puis…

Après Top of the lake de Jane Campion, la Nouvelle-Zélande nous faisait rêver de loin. Le visa était plus facile à obtenir, les paysages avaient l’air superbes… Quelques semaines de réflexions plus tard, nous nous sommes lancés.

New Zealand, here we come !!!

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Quelques liens pratiques :

• PVTistes, LA bible. A lire, relire, lire et encore lire dans tous les sens pour être bien préparé au départ.
• Frogs in NZ
• NZ Voyages, l’agence avec laquelle on a pris nos billets d’avion. On vous en parle très vite.*

Top of the lake – Jane Campion – Photo